Il est dimanche 13 juin Le scrutin des gouverneurs régionaux se déroulera dans 13 des 16 régions du Chili, puisqu’à Valparaíso, Aysén et Magallanes les gouverneurs ont été élus au premier tour, puisqu’ils ont dépassé le seuil nécessaire de 40% être oint.
Ce choix est historique, puisque auparavant le Président de la République nommait les maires de région par nomination, et aujourd’hui ces maires deviennent des gouverneurs qui doivent être élus par mandat populaire.
Le candidat au gouvernement métropolitain de Santiago, Karina Oliva (Frente Amplio), qui est membre du parti des Comunes, n’a pas hésité à exprimer leur joie de ce processus. « Il y a longtemps, je ne me sentais pas si partie prenante d’un processus historique et « citoyen » si soutenu. Les gens m’embrassentEnvoyez de bonnes vibrations, sentez que si nous arrivons au gouvernement régional, ils seront là. Mais en même temps Je me sens beaucoup de responsabilité« Oliva a déclaré au journal La Tercera.
La requérante a ajouté qu’à son avis, les propositions de la droite « n’ont pas de sens pour le peuple », et qu’au sein de l’opposition deux projets différents sont en jeu : une qui veut « maintenir la politique des 30 dernières années » et une autre (qui selon elle est celle qu’elle représente) qui veut vaincre les enclaves, questionner l’histoire et construire un nouveau projet. Comme on le sait, Oliva soutient les candidatures présidentielles des communistes Daniel Jadû et du large front Gabriel Boric.
En revanche, le candidat démocrate-chrétien de la même région, Claudio Orrego, pense qu’il aurait dû y avoir plus de débats et qu’Oliva, sa prétendante, « n’a pas accepté ». Selon le, un mythe établi qu’elle est complètement nouvelle en politique. «Je veux dire, elle a beaucoup d’expérience politique. Ce qu’il n’a pas, c’est une expérience territoriale comme moi. De plus, elle a érigé cette élection comme une sorte de plébiscite de ces 30 ans. Il a tenté de présidentialiser cette élection », a accusé Orrego.
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