Raj Kundra, le mari millionnaire de la superstar de Bollywood Shilpa Shetty, a demandé une libération sous caution après avoir été inculpé de distribution de charges pornographiques en Inde.
Kundra a été arrêté le 19 juillet, avec 11 autres personnes, soupçonné de production et de distribution de films pornographiques, et a été placé en détention judiciaire pendant 14 jours.
Il a demandé une libération sous caution, mais sa demande a été rejetée lors d’une audience du tribunal.
Dans sa demande, Kundra, qui a épousé Shilpa Shetty en 2009, a affirmé que le matériel qu’il aurait diffusé via des applications n’était pas pornographique et pouvait tout au plus être qualifié de « lascif ».
La publication et la projection de « matériel obscène » en Inde sont illégales, mais le regarder en privé est autorisé.
Il a également allégué que la police n’avait émis aucun avis avant l’arrestation, ce qui est obligatoire.
La police a déclaré que Kundra avait refusé d’accepter l’avis et qu’il avait refusé de coopérer à l’enquête.
Le cas de Kundra a été enregistré en février, lorsque la police a déclaré que des allégations avaient été faites par une femme qui a déclaré qu’elle avait été forcée de participer à un film pornographique en échange d’un travail d’actrice.
Dans le dernier développement, Shetty a traduit un certain nombre de publications d’information et de sociétés de médias sociaux devant la Haute Cour de Bombay, pour arrêter la publication de ce qu’elle prétend être « des informations incorrectes, fausses, malveillantes et diffamatoires » contre elle.
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Elle a déclaré que les plates-formes « sapaient » sa réputation en publiant du contenu « sensationnaliste » contre elle.
Une audience devait avoir lieu vendredi.
Shetty a été interrogée deux fois jusqu’à présent par la police. Elle était également partenaire de l’entreprise de Raj Kundra qui a créé l’application HotShots.
Elle a démissionné de son poste l’année dernière. Les responsables de la police ont déclaré aux journalistes qu’aucune preuve la liant à l’opération pornographique présumée n’avait été trouvée et qu’elle n’avait aucune implication dans l’affaire.