L’expansion de la variante Delta, avec une capacité de contagion plus élevée que le coronavirus d’origine, ébranle les prévisions sur la couverture que la vaccination doit atteindre pour atteindre le immunité collective, qui pourrait devoir être revu à la hausse, ont des experts reconnus de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le VDelta de l’Ariane Ce n’est pas le seul qui suscite des inquiétudes, car Alpha, Beta et Gamma sont également issus de mutations qui les ont rendus relativement plus transmissibles, virulents et susceptibles de réduire l’efficacité des mesures recommandées pour contenir la pandémie, c’est pourquoi pour laquelle le QUI les considère « variantes préoccupantes”.
Selon le dernier rapport épidémiologique de l’organisation, la variante Delta (initialement détecté en Inde) est actuellement diffusé dans 135 pays, le Bet (Afrique du Sud) à 132, le Varier (Brésil) à 81 et Alfa (Royaume-Uni) à 182.
Inconnues sur l’immunité collective
« La question de l’immunité collective consiste à savoir dans quelle mesure les personnes non vaccinées sont protégées du simple fait qu’elles vivent parmi des personnes vaccinées, mais ce n’est pas un chiffre simple, puisque cela dépend entièrement du niveau de transmissibilité d’un virus », a expliqué le chef du département de vaccination de l’OMS, Kate O’Brien.
L’expert a reconnu qu’à l’heure actuelle, dans le cas du COVID-19, « nous ne savons pas quelle est la proportion de personnes qui doivent être immunisées pour offrir une certaine protection à celles qui ne sont pas vaccinées ».
70% pouvant être révisé à la hausse
Lorsque la vaccination contre le COVID-19 a commencé, les experts ont supposé qu’il était nécessaire de vacciner un 70% de la population atteint l’immunité collective (appelé aussi « troupeau » ou « communauté »), mais l’apparition des variantes et leur rapide diffusion géographique imposent une nouvelle réflexion en la matière.
L’idée derrière l’immunité collective est que ceux qui ne sont pas vaccinés obtiennent une protection indirecte, puisque les vaccinés forment une barrière autour d’eux, ce qui explique que toutes les personnes ne doivent pas nécessairement être vaccinées.
No obstante, la transmisibilidad que va ganando el coronavirus (debido a los “errores” que sufre al transmitirse de una persona a otra y que modifican su código genético) apunta a que ahora la cobertura de vacunación necesaria podría, más bien, estar en torno au 80% ou plus.
Kate O’Brien, directrice du département de vaccination à l’Organisation mondiale de la santé. Photo : OMS
Durée et efficacité des vaccins
Un autre élément clé à prendre en compte lors de la projection du moment où l’immunité collective sera atteinte est l’efficacité des vaccins, qui varie parmi les onze vaccins administrés dans le monde, dont huit ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de l’OMS.
Les différents vaccins disponibles utilisent au moins trois technologies différentes, avec des niveaux d’efficacité globale qui varient entre 72% et 96%, mais qui dans tous les cas augmentent considérablement et sont proches lorsqu’il s’agit de prévenir les cas graves et les hospitalisations dues au COVID-19.
Pourquoi les cas rebondissent-ils?
De nombreuses personnes vivant dans des pays où la couverture vaccinale est élevée, en particulier dans les L’Europe Oui Amérique du Nord, ils ne comprennent pas pourquoi il y a des pics d’infections et la pandémie semble sur le point de frapper une nouvelle vague.
0′Brien a expliqué que cela n’est pas dû à un échec des vaccins, mais est une conséquence de l’attitude générale des personnes vaccinées, qui « se sentir en sécurité et négliger les autres mesures de santé publique«Cela est prôné depuis le début de la pandémie, ce qui entraîne une augmentation des cas.
Avec les informations de l’EFE