Adjoint Miguel Arias, représentant provincial de Corrientes, a été touchée à l’abdomen jeudi soir, 26 août, dans la ville de Tapeibecu, dans le nord-ouest de l’Argentine, alors qu’une cérémonie de clôture de la campagne du parti se déroulait Avant sur tout. Après l’attaque, le fonctionnaire a été transféré à l’hôpital de San José de Paso de los Libres.
Le législateur de Parti justicier Dans l’actuelle Chambre des députés, il a été invité à participer à une cérémonie de clôture de campagne à Tapeibecu avec le maire de Paso de los Libre, Martín Ascua, et différents candidats locaux qui participeront ce dimanche aux élections des autorités municipales et provinciales.
L’événement se déroulait normalement. Vers 20h30, une candidate à la mairie élaborait son discours lorsqu’une personne, qui n’a pas encore été identifiée, a tiré sur Arias qui se trouvait sur scène. Au milieu de l’agitation, le politicien a été transféré à l’hôpital de San José de Paso de los Libres dans un fourgon de police car il n’y avait pas d’ambulances sur les lieux.
Au centre médical, le législateur a subi une intervention chirurgicale pendant deux heures. Selon le rapport médical délivré par l’hôpital, la balle dans l’estomac a provoqué « de multiples trous dans des organes creux tels que l’intestin grêle, mais sans compromettre les organes vitaux ». Dans la matinée du vendredi 27, dans un état plus stable, il a été transféré à l’hôpital Escuela José de San Martín, dans la capitale de Corrientes.
À cet égard, Alberto Fernández, président argentin, s’est exprimé en solidarité et a demandé de « garantir la paix » lors des élections électorales.
« Le gouvernement provincial doit rapidement clarifier le fait et punir les responsables. (…) Nous souhaitons le prompt rétablissement du candidat attaqué et nous exhortons le gouvernement de Corrientes à garantir la paix et la sécurité le jour du scrutin », lit-on dans une partie du tweet de Fernández.
Les enquêtes sont en cours. L’un des premiers éléments de preuve trouvés dans la région était une arme à feu de calibre 22.
Jorge Ruiz Aragón, député national, a indiqué qu’au moment de l’attentat, une caravane du parti de l’Union civique radicale, force officielle de Corrientes, passait par là. Pendant ce temps, pour le sénateur Martín Barrionuevo, il s’agissait d’une attaque politique.
Des brigades de la police fédérale se rendront au Paso de Los Libre pour participer aux enquêtes avec les forces locales. Entre-temps, avant l’événement, le ministère de la Sécurité de la Nation argentine a offert la garde aux candidats qui en avaient besoin.
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