Novak Djokovic a perdu sa candidature pour rester en Australie après que les juges ont confirmé l’annulation de son visa.
La saga, impliquant le n ° 1 mondial et sceptique connu pour les vaccins, a fait la une des journaux à travers le monde, les partisans de la star serbe affirmant qu’il s’agissait d’un combat pour la liberté et les critiques affirmant qu’il tentait d’esquiver le système.
L’Australie a subi l’un des verrouillages les plus difficiles au monde pendant la pandémie.
Suivez les mises à jour en direct après que Djokovic a perdu sa candidature pour rester en Australie
Voici un aperçu des moments clés de la saga.
4 janvier : Djokovic annonce sur Instagram qu’il a été bénéficier d’une dérogation peu de temps avant de s’envoler d’Espagne via Dubaï vers Melbourne. L’annonce provoque une énorme réaction en Australie.
5 janvier : Djokovic atterrit à l’aéroport Tullamarine de Melbourne.
6 janvier : Force frontalière australienne détient la star du tennis dans une chambre à l’aéroport pendant la nuit, lui refusant l’autorisation d’entrer dans le pays et lui notifiant leur intention de l’éloigner.
Le président serbe proteste auprès du gouvernement australien alors que son visa est annulé.
7 janvier : Djokovic risque 72 heures pour le Noël orthodoxe retranché dans un hôtel pour demandeurs d’asile après qu’un tribunal ait accepté d’entendre son appel contre son visa annulé.
9 janvier : Des documents judiciaires révèlent que Djokovic avait obtenu une exemption médicale en raison d’une infection au COVID le 16 décembre.
10 janvier : UNE le juge annule la décision du gouvernement d’annuler son visa au motif qu’il était déraisonnable. Djokovic est libéré de détention.
Mais l’affaire n’est pas terminée car le ministre australien de l’Immigration, Alexander Hawke, a déclaré qu’il évaluerait l’utilisation des pouvoirs personnels pour décider s’il devait toujours être expulsé.
Juste après minuit, Djokovic a tweeté une photo de lui s’entraînant à l’aréna Rod Laver.
11 janvier : Les publications sur les réseaux sociaux et les témoignages oculaires contredisent la déclaration du formulaire d’immigration de Djokovic selon laquelle il n’a pas voyagé pendant 14 jours avant d’entrer dans le pays.
Les médias sociaux suggèrent également qu’il a assisté à des événements publics alors qu’il était positif.
12 janvier : Dans une déclaration sur Instagram, Djokovic dit que son l’agent a fait une erreur sur son formulaire d’inscription en Australie lors de la fourniture des détails de son voyage dans les jours précédant son arrivée dans le pays. Il s’excuse et dit que son équipe a fourni des informations supplémentaires au gouvernement australien pour clarifier cette affaire ».
Il s’excuse également d’avoir quitté la quarantaine pour faire une interview et une séance photo avec le magazine français L’Equipe après avoir reçu son résultat PCR positif. Il dit qu’il « s’est senti obligé d’aller de l’avant et de mener l’interview de L’Equipe car je ne voulais pas décevoir le journaliste ».
13 janvier : Djokovic est inclus dans le Tirage au sort de l’Open d’Australie comme tête de série.
14 janvier : Le ministre de l’Immigration, Alex Hawke, utilise des pouvoirs discrétionnaires pour annuler le visa de Djokovic une seconde fois, citant le risque de « troubles civils » et affirmant que Djokovic pourrait attiser le sentiment anti-vaccination et poser un risque pour la santé.
Djokovic fait appel de la décision.
15 janvier : Djokovic est retourné à l’hôtel de détention de l’immigration où il était auparavant détenu. Certains joueurs, dont Rafael Nadal et Emma Raducanu, déplore la distraction apportée par l’affaire.
16 janvier : Les juges maintiennent son visa d’annulation, ordonnant son expulsion et mettant fin à ses espoirs de remporter son 10e Open d’Australie et un record de 21 tournois du Grand Chelem.