Et homme schizophrènequi a été considéré comme un cannibale, a assassiné son propriétaire et a mangé son cœur pour « Mettre fin au mal dans le monde »comme l’a lu une enquête menée par les autorités policières et partagée par un média local.
Selon le document, la révélation choquante a été faite par Saverio Bellante lui-même, un citoyen italien qui a tué Tom O’Gorman en 2014 à Castleknock, Dublin (Irlande).
La déclaration sur la mort de M. O’Gorman a eu lieu le lundi 4 juillet dernier, et les détails horribles du meurtre ont laissé les jurés « profondément choqués » qui ont rendu un verdict narratif sur la mort.
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Bellante était délirant au moment du crime et a affirmé qu’il était « Dieu en mission spéciale contre les forces du mal dans le monde ». Il a tué l’homme aux premières heures du 12 janvier 2014 après qu’une bagarre a éclaté pour une simple partie d’échecs.
Il a été reconnu non coupable du meurtre en 2015, pour cause de folie, et est depuis détenu à l’hôpital psychiatrique central de Dundrum, où le psychiatre médico-légal Stephen Monks l’évalue.
Le tribunal du coroner de Dublin a appris qu’il avait cessé de prendre des médicaments antipsychotiques le 9 janvier 2014, deux jours avant d’assassiner sa victime, et qu’il se sentait dans « une bataille entre les forces du bien et du mal ».
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Il était « profondément paranoïaque » et souffrait d’une psychose aiguë, ce qui lui faisait penser que son propriétaire essayait de « le priver de sa liberté et de l’asservir ».
La cause du décès était due à un traumatisme contondant à la tête et à des coups de couteau au cou et à la poitrine. Il s’est également avéré que le poumon droit avait été retiré du corps et avait des dommages au foie.
Le criminel a déclaré à la police locale : « Nous nous sommes disputés et je l’ai poignardé ». Le sujet a confirmé qu’il avait commis du cannibalisme contre son locataire, des tests ADN ont donc été nécessaires pour identifier la victime.
Un ambulancier sur les lieux a confirmé qu’il y avait quelque chose sur une assiette qui ressemblait à « un morceau de foie » et que, après examen, il s’est avéré qu’il s’agissait du cœur. Le frère de M. O’Gorman était en cour pour entendre l’affaire.